un robot n'est pas tout à fait une machine un robot est une machine fabriquée pour imiter de son mieux l'être humain isaac asimov à l'ère numérique le monde du travail nos métiers et nos façons d exercer sont en pleine mutation les actifs les entreprises et le secteur rh sont appelés à se réinventer dans ce podcast je vous invite à un exercice de prospective et à réfléchir dès aujourd'hui au monde d'après demain celui où les enfants de la génération z arrivant sur le marché du travail je m'appelle air vo bolt et vous écoutez génération alpha le podcast qui explore le futur du travail produit avec le soutien de fujitsu comme le laisse entendre cet extrait du film x makeena la compréhension entre humains et robots ne coule pas forcément de source quelle que soit la forme qu'on attribuera à ces machines il semble acquis que les humains seront de plus en plus assistés par des ia et des robots ou augmentée par des extensions corporelle intelligente dans les décennies à venir la collaboration avec les machines interroge les scientifiques qu'il s'agisse de la mesure de la charge de travail de l'humain des modalités de la coordination humains machines ou des questions éthiques et psychologique alors pour aborder le sujet de l'humain assisté ou augmenter et les questions de collaboration et d'interaction entre humains et machines j'ai échangé avec des spécialistes comme catherine belhassen docteur en psychologie spécialisée dans les interactions humains robot chercheuse postdoctorale en sciences cognitives au cnrs frédéric ii est professeur à l'institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace et co fondateur de la start up in fact et marc bernstein fondateur de ware et bull technology si la robotique a depuis longtemps intégré les usines l'interaction humains machine est encore un sujet d'avenir parallèlement aux questions de l'acceptation de cette technologie les scientifiques travaillent sur les collaborations de demain et les moyens de communication requis pour une compréhension mutuelle indispensable kathleen belhassen docteur en psychologie et chercheuse en sciences cognitives au cnrs travaille précisément sur ce sujet pour qu'elle soit efficace cette collaboration avec un agent robotique ou même avec un an ça va être en fait deux questions qu'on va se poser la motivation d'une part à coopérer avec un agent finalement qu'on ne connaît pas bien et la prédiction des actions de ce partenaire là inconnu on sait que la motivation et la prédiction ce sont deux composantes essentielles pour réussir en fait à nous coordonner tout simplement pour réussir à ce que nos actions ne rentrent pas en compétition en conflit et donc va parvenir à une collaboration réussie et cette motivation va finalement elle va dépendre de ce concept de l'agent inconnu en question de ce qu'on comprend de lui de ce qu'on sait de ses capacités de l'agentivité qu'on va lui pour se voir donc le sentiment qu'il est vraiment maître de ses actions qu'il est responsable de ses conséquences deux choses qui vont être conditionnée par des mécanismes cognitifs on sait qu'au niveau neuronale par exemple une action dont l'exécution le mouvement va être on va dire biologique par ressembler à quelque chose qu'on connaît qu'on fait nous même par être bien mieux comprise parce que justement elle va résonner en nous et on sait que malheureusement ce n'est pas toujours le cas justement à l'observation d'une action plutôt robotique et on ne va pas forcément comprendre où l'action va s'arrêter donc forcément se coordonner derrière ça va être d'autant plus compliqué donc mais si le challenge voilà ça va être de réussir à communiquer autrement sur ces mouvements sur ses actions on va utiliser d'autres mécanismes pour comprendre les actions que l'on souhaite effectuer est de vous permettre finalement une bonne prédiction les actions de notre collaborateur on attend bien sûr de ses technologies qu'elles soient le plus user friendly possible ce qui implique de rendre les comportements humains intelligible pour les machines je vous laisse imaginer le défi qui consisterait à traduire l'ironie ou les sous-entendus je crois qu'à terme il va falloir évidemment que ce soit le système robotique qui soit complètement adapté à l'humain et les recherches vont dans ce sens on étudie d'abord l'humain pour pouvoir faire en sorte que notre robot comprennent aussi les signaux la gestuelle de l'humain les expressions émotionnelles etc mais ce sont des choses qui sont quand même très très complexe nous mêmes chercheurs dans le domaine on est très loin comprendre de nombreuses choses chez l'humain est donc la technologie n'en est pas encore là aujourd'hui le robot ne peut pas encore comprendre une expression faciale émotionnel très limité très discrète comme un petit sourire au ou même distinguer entre la tristesse et le dégoût on va dire c'est inné pour les humains mais pour intégrer ça dans un système robotique c'est tout de suite plus complexe donc qu'on essaie de trouver des alternatives pour que en tout cas on avance dans la recherche on n'avance vraiment pas à pas c'est ça finalement la robotique aujourd'hui et domaine de l'interaction humains robot qui est en fait à refaire sans arrêt les recherches qu'on a fait dix ans avant parce qu'on sait que dix ans avant vous avez certains résultats aujourd'hui ce ne sont plus les mêmes tout simplement parce qu'on n'a même plus les mêmes utilisateurs parce qu'aujourd'hui on est beaucoup plus habitués à la technologie s'il ya dix ans un autre secteur de recherche en pleine ébullition concerne les interfaces une machine du futur prenant en compte la charge de travail de l'utilisateur une donnée fondamentalement humaine qui varie en fonction d'une multitude de paramètres d'un individu à l'autre ou chez un même sujet en cause l'absence d'un seuil de tolérance qui serait le même pour tout le monde en gros une charge de travail assumer un jour j pourrait provoquer une surcharge le lendemain chez la même personne si on connaît les conséquences du stress sur l'organisme il peut s'avérer dramatique dans un domaine comme l'aéronautique les pilotes d'avion sont le sujet d'étude de frédéric deret professeur à l'institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace de toulouse il est également co fondateur de la start up in fact qui analyse les facteurs humains associés aux données de vol alors heureusement une charge de travail pour un individu lambda au premier de personnes elle le ressenti sera pas le même sa capacité à passer cette tâche ne sera pas la même et en plus au sein du même personne vous la faites faire la tâche le matin lendemain le jour d'après la charge de travail ressenti ne sera pas la même donc on est vraiment face à toute la complexité du main mais néanmoins on a quand même des marqueurs qui sont intéressants et en particulier en utilisant des outils de neuro-imagerie je pense particulier l'électro encéphalographie donc on va mesurer l'activité électrique du cerveau et même des capteurs plus récents qui vont mesurer l'oxygénation cérébrale est ce que nos travaux ont pu montrer justement c'est que finalement même si on n'a pas 37 2 c'est à dire que les mesures ont varié de fonction du jour de paraître de la journée on va voir que justement la charge de travail devient inacceptable trop difficile c'est comme si vous devez porter quelque chose au bout d'un moment l'objet est trop lourd vous lâcher eh bien on va voir que le cerveau va se désengager ça vous refuse de faire la tâche et ça va être associé à un désengagement du cortex préfrontal et ces mesures vraiment assez fiable et finalement de cette espèce de lignes rouges et le cerveau va revenir vers des modes un peu plus primitifs ou va revenir sur ce qui sait parfaitement faire comme un fusible qui saute et on revient sur le mode safe sex on va voir ce désengagement est par ailleurs on peut avoir des phénomènes de stress indépendant d'une charge de travail parce qu'on est face à une menace le terme n'est pas beau mais on parle de stress débilitant on va voir si un ouvrage qui se désengage et on bascule vers les réflexes pour vous citer un exemple assez parlants vous êtes au volant de votre voiture un de vos morceaux favoris passent à la radio tandis que vous discutez avec votre passager un obstacle surgit devant nous votre cerveau va automatiquement une erreu les stimuli auditifs pour se focaliser sur la situation d'urgence qui nécessite toute votre attention vous êtes juste incapable de faire autre chose simultanément ce que me confiait frédéric c'est que l'homo sapiens aujourd'hui n'est pas plus malins ou performant que l'homo sapiens de la préhistoire sauf qu'ils se retrouvent aujourd'hui face à des problématiques complexes et une saturation d'information associées au stress du résultat en clair notre cerveau n'a pas été conçu pour piloter des avions ou répondre à 300 mails par jour l'enjeu pour les chercheurs et donc de pouvoir prédire la performance de l'utilisateur pour compenser ses faiblesses pour prédire la performance humaine on va s'intéresser à de multiples mesures vous ai parlé de mesures cérébrale mais on va aussi y mesurer les mouvements oculaires on peut mesurer la parole toutes ces mesures combinées entre elles et plus tout ce qu'on développe au laboratoire faut aller de plus en plus en profondeur le fonctionnement cérébral vous donner accès de plus en plus d'informations pour évaluer l'état de l'opérateur et on arrive maintenant de plus en plus mais après dire c'est tout ce qu'on cherche à faire c'est pas dit revêtir le pilote qui n'est pas dans son bon état mais c'est en avance quelques secondes avant et j'ai prédire l'état cérébrale pour dire la manne or il faut soulager sa charge mentale et peut-être donner plus d'autorité au pilote automatique où on voyait des contre-mesures arrêter d'envoyer des alarmes évitait d'avoir envoyé des alarmes auditifs et en particulier les mesures qui sont vraiment intéressantes dans le cerveau c'est plus de voir finalement keller cérébrale va s'activer mais plutôt de considérer le cerveau comme un bug comme un réseau et de voir comment les aires cérébrales communiquer entre elles mais c'est la même métaphore que l'on peut faire jeu pendant une entreprise si bien de savoir quels sont les cadres qui fait quoi mais surtout intéressant de voir comment l'information circule et surtout s'ils attirent plus bien aussi la leçon humain avec une mesure prédictive des capacités de l'utilisateur on s'oriente vers des interfaces à géométrie variable pour prendre l'image d'un cockpit d'avion imaginer que l'on masque tous les instruments inutile à l'instant t pour réengager l'attention du pilote ou alléger sa charge de travail en affichant dans son champ de vision les seuls indicateurs dont il a besoin on peut aussi faciliter la vie du pilote est scellé technolac on est en train de développer les interfaces cerveau machine alors bidirectionnelle c'est à dire que par la pensée entre guillemets on va permettre aux pilotes d'interagir avec son cockpit donc ça va lui permettre d'avoir les mains sur le manche manette des gaz et de continuer sa vie normale entre guillemets et avec cette interface homme machine qu'on m'a posée sur son cerveau on va aussi pouvoir mesurer son l'état de vigilance est détecté que dans ce monde multi tâche du pilote s'il en manque certaines eh bien on va pour le détecter automatiquement les façon à ce que le pilote automatique certaines tâches et ainsi on a vraiment une espèce de de symbiose une machine qui décidèrent tous allés assez simple c'est d'avoir un cockpit intelligent qui s'adapte à lui ment parce que souvent de mon 3 l'humain s'adapter à la technologie qui est complexe développé par les ingénieurs comptent souvent des idées brillantes mais qui ne comprennent pas forcément ce que c'est que la psychologie humaine et sa complexité et là l'idée si vous voulez c'est d'avoir un topic qui fait finalement unis qui va s'adapter aliments et à optimiser vraiment aux badauds les meilleurs liane le meilleur de l'humain est ensemble on va pouvoir y arriver une autre piste en cours de développement consiste à concevoir des interfaces corporels pour par exemple contrôler des robots dans des milieux hostiles en ayant recours à des capteurs de mouvement ou encore les jumeaux numérique grâce à la réalité virtuelle ou augmenter la machine devient un prolongement du corps mais derrière la performance technique pointe des questions psychologiques ou art juridique autour de la responsabilité de nos actions kathleen belhassen docteur en psychologie spécialisée dans les interactions humains robot chercheuse en sciences cognitives au cnrs et puis va y avoir toute une question derrière de valeur finalement à quel moment ce que j'ai effectué mon exploit sportif par exemple à l'image du dopage mais dû à moi et pas à la technologie qui va venir augmenter et des questions aussi bas de responsabilité finalement tout comme avec les robots on va pouvoir se poser la question de l'âge en 18 et derrière nos actions est ce que finalement on vraiment maîtres de nos actions est ce que c'est moi qui ai fait ça est ce que c'est ma prothèse qui a dysfonctionné agi tout seul est ce que c'est le robot est ce que c'est le concepteur vers le robot etc on va avoir pas mal de problématiques autour de la responsabilité de nos actions et forcément ça influence encore une fois le fait qu'on n'accepte pas cette technologie puisque je crois que ce qui fait le plus peur aujourd'hui aux personnes qui ne sont pas forcément familier on va dire que ces technologies là c'est bien le problème de l'autonomie est donc de la responsabilité d'une telle machine fait qu'on ne puisse pas complètement la contrôler avec des salariés bardée de capteurs apparaissent d'autres questions éthiques notamment pour leurs employeurs comme le soulève marc goldstein il est le fondateur de voix révèle technology un groupe britannique est spécialisé dans les équipements et vêtements de sécurité connectés utilisé notamment dans les mines ou les plates formes pétrolières nous avons aujourd'hui la possibilité de surveiller le niveau de stress ou le rythme cardiaque admettons que vous travaillez dans l'industrie dans une raffinerie pétrolière par exemple que vous avez 60 de vous et qu'en suivant votre rythme cardiaque monde est celle que vous n'avez pas bien et risquer une attaque cardiaque dans les six mois à venir nous rencontrons tout d'abord une question éthique devons nous vous le dira peut-être souhaiteriez-vous le savoir mais que vous soyez prévenus uni si votre société vous c'est en danger va-t-elle envisagez de vous licencier non si elle est plus responsable préférez vous confier des tâches moins lourd ce qui risque d'avoir des conséquences sur votre salaire il ya de nombreux facteurs humains autour de l'utilisation de cette technologie et nous commençons tout juste à travailler sur les questions de lingolsheim alors on va avoir beaucoup de problèmes et des discussions et des débats éthiques forcément autour de l'utilisation de machines de robots de l'exosquelette et cetera mais des questions éthiques on en a beaucoup d'autres et notamment sur l'utilisation justement d expression émotionnelle de la simple communication du robot envers donc l'humain ici le problème qu'on va avoir c'est que si on fait croire entre guillemets à l'utilisateur que notre robot il est doté d'émotion parce que finalement en le dotant juste de la capacité d'exprimer des émotions au niveau faciale donc juste de faire un sourire ou même dans sa manière de parler de dire je suis triste pour toi c'est des choses qu'on connaît déjà un qu'on expérimente déjà le problème c'est qu'on fait croire à l'utilisateur que le gros bout il est capable de ressentir des émotions donc il est doté d'une amende une forme de conscience et à partir de là il est inévitable encore une fois qu'on s'a pêche on va entraîner une cascade de comportement problématique en tout cas potentiellement problématique et puis il s'agit là d'un phénomène très trompeur et finalement même le fait d'avoir des robots qui vont nous ressemble et des robots très anthropomorphique on est déjà trompeur puisque on sait déjà ce que ça va provoquer chez l'humain on sait déjà qu merbah s'identifier ce robot que potentiellement il va se mettre en danger où il va croire donc il ressent des émotions qu'il est doté de conscience etc et donc on est déjà finalement en train de mentir à notre utilisateur est là donc on a vraiment avoir un problème de dos n'était finalement intellectuelle dans ces techniques en tout cas pour communiquer finalement avec l'humain donc il y a des avantages à toutes ces techniques là sinon les utiliserait pas sinon le débat serait clos il n'aurait même pas commencé mais de gros problèmes éthiques dans l'utilisation du robot et de toutes les technologies qui peuvent finalement nous le rendre un petit peu plus acceptable mais du coup moins morale vous pensiez que la responsabilité de l'utilisateur ou usage des données collectées pause et potentiellement problème poussons curseur un peu plus loin avoir recours à des technologies de pointe nous rendant plus performants aura inévitablement un coût qui entraînera de facto des inégalités d'accès à ces outils accentuant davantage des discriminations sociales préexistantes kathleen belhassen forcément si on ne parle pas du handicap on va quand même avoir encore un problème jeu désolé je vous parle beaucoup de choses négatives mais finalement on va avoir une augmentation de discrimination potentiel entre humains et 30 juin finalement si jamais la technologie évolue assez mettre une limite sur je vous le se voit de faire ou pas je pense que au niveau vraiment moral il va y avoir une quantité d'aspects à ne pas négliger ça va avoir un coût aussi simplement ces choses là donc les discriminations sont encore plus augmenté puisqu'il y aura des gens effectivement corps ont cette capacité à payer donc à être douter de ce type de technologie d'autres non donc le but finalement de toutes ces technologies va être peut-être le plus en plus discret possible et donc forcément de permettre à certaines personnes dotées de ces technologies de pouvoir faire certaines choses qui sont aussi potentiellement impossible pour un humain qui n'est pas augmentée qui n'ont pas transformé et donc accéder même à des privilèges tout simplement au delà d'accéder à certains entretiens d embauche certaines perspectives professionnelles même tout simplement à des privilèges que d'autres n'auraient pas puisque ici on va vraiment avoir une hiérarchie on va vraiment avoir une nouvelle fois en bresse de classe sociale finalement et donc les dérives qui vont avec avec potentiellement aussi une augmentation des comportements sectaires mais comportements à risques criminels etc pour pouvoir obtenir le droit d'utiliser cette technologie avec la poursuite de la miniaturisation tous ces outils portable devient seront infiniment léger et discret langenstein prévoit notamment l'abandon progressif du texte au profit de la commande vocale et un recours croissant à la réalité augmentée il ya beaucoup de recherches autour de la captation et de l'interprétation des ondes cérébrales donc je suppose que nous disposerons genre de technologies capables de recevoir et d'envoyer des messages en temps réel ce qui ressemble peut-être à de la science fiction je pense que dans le domaine des communications à mesure que la mondialisation se poursuit nous n'attendrons pas longtemps avant que des individus se parlent chacun dans leur propre langue grâce à une traduction sims ont commencé à le voir à une échelle réduite mais cela devrait devenir courant au cours des prochaines décennies nous n'aurons plus besoin d'apprendre des langues étrangères particulièrement nous autres anglais qui parle on traîne du passé on pourra laisser tomber et continuer de parler anglais en étant parfaitement compris les andes mais comme enfants nous pour saisir la subtilité de l'humour british il y aura probablement un manque de rythme qu'ils cessent leurs rats que l'humour soit parfaitement perçu en look tout de suite en pionnier de la révolution numérique marc d'einstein est confiant dans le futur du travail qui engendrerait une conversion des métiers vers des emplois plus qualifiés laissons les tâches subalternes et répétitive aux machines un sujet que nous abordions notamment dans notre troisième épisode que je vous invite à écouter si le sujet vous passionne le nirvana dans les espaces de travail industriel serait d'avoir des ordinateurs qui travaillent en arrière-plan ce que nous les remarques sont la plupart du temps pour assurer notre sécurité augmenter notre productivité maximiser la joie que nous retirons des interactions humaines qui est très important de façon à ce que les ordinateurs nous assistons à ce que nous vous aimons faire en éliminant le risque et les éléments déplaisant les notre travail pour que nous approchons d'un plaisir perpétuelle j'ai eu ce que je retiens les réflexions de nos invités c'est que la collaboration avec les machines repose avant tout sur une meilleure compréhension de l'être humain dans ce domaine l'évolution des techniques et les mentalités tout ça ne rien tenir pour acquis condamnant la recherche à des mises à jour permanentes l'un des enjeux pour créer des interfaces humains machine efficace et sécurisée repose notamment sur une évaluation fiable de la charge de travail de l'utilisateur en contrepoint la collecte de données d'un salarié sa perception de la réalité et comme l'engagement de sa responsabilité pour nombre de questions morales éthiques et juridiques qui devront être résolues avant un large déploiement de ces technologies le recours à des extensions corporelle aussi performante le coûteuse risque d'accroître les inégalités et les discriminations entre humains et rend humain cependant la robotique elia devrait permettre aux humains de se consacrer au seul talent épanouissante laissant le soin aux machines devraient en coulisses pour leur sécurité et leur efficacité et puis allez savoir demander une augmentation n'aura peut-être plus le même sens en 2050 pour échanger sur ces sujets retrouver génération alphare sur sa page linkedin et si vous avez apprécié cet épisode abonnez vous gratuitement sur votre application des coudes préféré attribué lui cinq étoiles et un commentaire si elle le permet et surtout parlez-en autour de vous ce podcast est produit avec le soutien de fujitsu comité éditorial et munich armagnac une opinion et carlos freitas préparation séverine gonnet production hervé au bolt et stereolab vous venez d'écouter le dernier épisode de la première saison de génération alpha merci de nous avoir suivis depuis un an nous vous donnons rendez vous à la rentrée d'ici là travaillez bien profiter de vos vacances et souvenez vous de ce que nous réserve l'avenir
2022-06-25