NJABAR - Saison 1 - Episode 20 **VOSTFR**

NJABAR - Saison 1 - Episode 20 **VOSTFR**

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- Les riches d'hier sont les pauvres d'aujourd'hui. - Dieu est miséricordieux. La roue tourne. - Voici mon petit bébé. - Ca fait un bail que tu n'es pas venue vendre. Les enfants demandent sans cesse après toi. - Assieds-toi ! - Ils demandent toujours après toi. - C'est vrai.

Les oranges se vendent très bien. Ils en demandent tout le temps. Je leur ai dit que peut-être que tu es occupée ces derniers temps. Je vois que ça va. Ils disent que vous êtes riches. Vous avez gagné à la tontine. - Vous mangez du poulet au déjeuner ? - Tu vois ! - Vous avez bien évolué ! - Comment l'as-tu su ? - Tu as bonne mine ! Le poulet est bien mariné. - Il faudra que tu fasses un sacrifice. - Ah oui ? - Oui ! Ta femme ! - Ma femme Codou ndiaye ? Koromokho, je ne pourrai pas faire ça.

Je ne pourrai pas sacrifier Codou Ndiaye. Je ne vais pas la tuer. Il ne s'agit pas de ça. Ta femme doit coucher avec un homme. - Ma femme, Codou Ndiaye ? - Tu es bien habillée, Ta Maï ! - Jolies, les perles ! - C'est pour servir le repas à ton papa. Vas-y doucement avec le poulet ! Impoli ! C'est comme ça que tu manges chez ton père ? - Dis-lui de faire doucement ! - Mange, ta Maï. Impoli. Je ne t'ai jamais apprécié. Tu t'es comporté ainsi chez Alou avec Birima.

A l'heure du repas, tu ne m'as même pas salué ! J'étais ridicule. Tu es chez moi, c'est mon argent. Il est impoli. - Ta Maï, je suis sage pourtant. Mange. - Vas-y, mange ! - Je risque te casser la gueule comme je l'avais fait. Ne me regarde pas, je ne vais pas lui pardonner, sinon il va persister ! - Mbissou, ne le frappe pas ! - Ta Maï, tu vas le laisser me frapper ? Non, ne le frappe pas.

Qu'elle couche avec un autre homme alors que je suis là ? Moi Koromokho, tout ce que je dis est vrai. Ta femme doit coucher avec un autre homme sinon tu seras chassé de chez toi ! Tu auras une fin malheureuse ! Tu vas finir par mendier ! Tu peux me croire ! Je suis Koromokho ! C'est hors de question ! Nous ne pourrons plus collaborer, car je ne peux pas faire cela. Que Codou Ndiaye couche avec un autre homme ? Koromokho, au vu de ta proposition, je m'en vais. Tu ne peux pas trouver une autre solution ? Il doit exister d'autres solutions. Tu peux les trouver. C'est ce que les génies m'ont dit. Moi Koromokho ! Je suis un homme de parole ! C'est bon alors. Je suis venu pour rien.

Lève-toi ! - Fiche-lui la paix. Arrête ! - Lève-toi ! Mbissou, que t'arrive-t-il ? - Pourquoi tu frappes mon fils ? - Va te laver les mains chez toi. - Ne le frappe plus. Est-ce clair ? Tu es chiant. Il est là, car qu'il a faim. Tu oses le frapper. Maï, je suis ton mari alors baisse la voix quand tu me parles.

- Je m'en fiche ! - Il est sans vergogne ! - Tiens ! Maï, pourquoi tu lui donnes ce morceau ? Je m'en fiche ! J'en ai marre d'en manger tous les jours. - Ce jeune est très indiscret. - Tu parles bien de lui ? Mais c'est mon fils ! Continuons de jouer aux démunis. Pourquoi tu portes ces bijoux ?

Si notre business tombe à l'eau, ce sera de ta faute, car tu n'es pas discrète. - Il faut savoir étaler sa richesse. - Quoi ? Koromokho n'est pas sérieux. Alou aura un meilleur statut social que moi ? Que je risque de mendier, me faire expulser et me faire humilier ? Que ma femme Codou Ndiaye soit avec un autre homme ? Je suis un habitué des féticheurs, mais c'est la première fois que j'entends ça.

Tu ne m'as pas tout dit ! Birima, pourquoi tu n'as pas réussi à ton examen ? Je ne voulais pas te le dire pour éviter les problèmes. - Quoi ? Tu penses qu'il y'aura des problèmes si tu me le dis ? Maman, les stylos que tu m'as donnés se sont mélangés dans le sac. - Quoi ? Répète-le ! - Les stylos se sont dispersés.

C'est Alou et Mbissane qui les ont mis dans le sac. C'est clair que Mbissane et toi ne sont pas derrière cette idée. C'est celle de Alou ! Il est plus malin que vous ! C'est normal, il est comme sa mère. C'est une adepte du fétichisme. Je ne te le pardonnerai jamais si Alou réussit avant toi.

Je ne te le pardonnerai pas même dans ma tombe. Tu m'as déçu, Birima. Tu es sans vergogne. Tu considère Alou comme un ami alors qu'il ne te voit pas comme tel. Tout ce qu'il nous souhaite c'est du mal ! Ta femme doit coucher avec un homme sinon tu auras une fin malheureuse. Il aura un meilleur statut social que toi ! La commande que j'ai faite chez Beauté Exquise est arrivée ? - Ils sont en route. - Ça doit être à cause des embouteillages. - Ça doit être le cas, mais ils sont en route. Fais-moi signe s'ils viennent.

Bonjour… - Bonjour Weuz. - Racky, comment vas-tu ? Banna, ça va ? - Banna, j'aimerais te parler. - Tu ne vois pas que je travaille ? Maintenant, le travail t'empêche de me parler ? - Parce qu'on ne sort plus ensemble. - Si je finis et que j'ai le temps, on se verra. - Banna, je dois te parler.

Allons parler dehors ou tu veux qu'on le fasse ici ? Weuz, tu ne m'as pas bien saisi ? Je travaille ! Elle m'a largué alors que je lui ai donné tout ce que j'avais. Je suis un charretier, mais elle me soutirait tout mon argent. Tout le monde m'avait demandé de rompre avec elle, mais j'ai refusé de le faire. Elle sort avec un autre, je veux me venger. - Qu'est-ce que tu veux dire là ? - Je veux que tu l'envoûtes. - Tu veux qu'elle meurt ou qu'elle devienne folle ? Non, je ne veux pas qu'elle meurt ou qu'elle devienne folle.

Je veux qu'elle m'obéisse au doigt et à l'œil. - C'est tout ce que tu veux ? - C'est facile comme bonjour ! - Donc tu en es capable ? - Quoi ? - Pardon. - Tu doutes des dons de Karamoko ? - Dieu m'en préserve. Ce n'est pas le cas. - Qu'est-ce que tu as dit ? Va-t'en ! J'ai parlé sous le coup de l'émotion. Excuse-moi. On ne doute jamais de mon pouvoir ! Je suis Karamoko ! Je n'en ai jamais douté, j'ai juste été touché par ta réponse. Je rêve ou quoi ? Quel est le problème ? Weuz, qu'est-ce qui t'arrive ? C'est un cadre professionnel ici. Pourquoi tu fais ça ? Tu as changé.

- Est-il obligatoire d'aimer quelqu'un ? - Tu la défends ? Pourtant ton petit ami te trompe avec elle. Répète ce que tu viens de dire ! Pardon ? Qu'est-ce que tu racontes ? Je ne t'ai pas bien entendu, Weuz. Vas-y, parle ! Qu'est-ce que tu racontes ? - Qu'est-ce que tu viens de dire ? - Ouly, elle sort avec Alou.

- Qui est Alou ? Tu connais Alou ? - Vas-y, parle ! Sale pute ! Dans ce quartier, il n'y a qu'un seul Alou ? Qui est King Daddy ? Tu veux m'humilier ? Le pire est à venir ! Tu me trompes avec Alou ? Parce qu'il revient de l'Europe, tu veux lui soutirer de l'argent ! C'est un cadenas. Elle va te suivre comme un toutou avec son maitre. - Elle va me suivre ? Elle va m'aimer ? - Tu en doutes ? Non, que Dieu m'en préserve ! Ce n'est pas ce que j'ai dit. - Combien dois-je te payer ? - Donne-moi ce que tu as sur toi. - Je n'ai pas grand-chose sur moi. - Je le sais. - Tiens. - Dépose-le ici ! Ecoute très bien ce que je vais te dire.

C'est le comble ! Il s'en va ? Tu te permets de porter du rouge et du noir pour anticiper la Saint-Valentin. Tu vis une histoire d'amour avec mon King Daddy ? Approche-toi. Banna, je ne suis pas de ces femmes qui se font chiper leur hommes. Banna, tu me trahis ? Je vous soigne, toi et ta mère, quand vous êtes malades. Banna, je te considère comme une petite soeur.

Tu as récemment pris les 50 000F du salon, mais je ne l'ai dit à personne. Tu ne me les as toujours pas remboursé. Tu oses sortit avec mon King Daddy ? Je ne permettrai à aucune fille de me chiper mon petit ami. Viens. Banna, approche, je vais te dire quelques mots. Tu ne dois pas pleurer. Pourquoi tu pleures ? Hypocrite, tu ne dois pas pleurer.

Tu joues à la sainte nitouche alors qu'en réalité, tu es en couple avec mon copain. Je suis celle qui doit pleurer et non toi. Sors ! Prends tes cliques et ses claques ! Ne reste pas une minute de plus, sinon je te tue.

Pousse-toi. Va-t'en ! Dépêche-toi ! Ta Khoudia, on ne se retrouve pas facilement ! Tu t'es perdu en route ? - Là où tu étais était plus accessible. - Mais ici c'est plus spacieux. - C'est mieux ici. La livraison est prête ? - Pourquoi tu t'arrêtes là-bas ?

J'ai un client emmerdant qui ne cesse de m'appeler. - Assieds-toi. - Non, donne-moi la livraison, je sois y aller. Assieds-toi, je reviens. Ne t'empresse pas, prends place, j'arrive. Juste quelques secondes.

Ta Khoudia, fais vite alors. Non, je vais pas durer, j'en juste pour quelques secondes. Je vais attendre alors. Tu ne vas pas passer toute la journée à pleurer. Tu ne m'as rien dit et tu ne réponds pas à mes questions. Que se passe-t-il ? - C'est Oulimata ! - Quoi ? - Weuz lui a tout raconté.

Weuz est allé parler à Oulimata de notre relation ? Weuz a créé un scandale au salon. Il criait devant tout le monde. Il m'a humiliée ! Tout le monde le sait ! J'ai aussi perdu mon boulot ainsi que ma dignité ! J'ai tout perdu ! - Comment il l'a su ? - Ici, c'est vraiment spacieux. C'est plus spacieux que l'autre appartement. Ta Khoudia est une grande dame.

Que se passe-t-il ? Pourquoi tu fuis ? Rien. J'attends la livraison. Je ne veux pas de livraison, j'ai plutôt besoin de toi. Tout est de ta faute. Je ne devais pas m'engager dans cette relation. C'est à cause de Weuz et Oulimata que tu pleures et que tu dis que tu es fichue ? Weuz était ton mari ? Oulimata n'était pas non plus mon épouse.

N'avons-nous pas le droit de nous aimer ? J'ai le droit d'aimer celle que je veux. Tout cela n'a plus d'importance, séparons-nous afin d'arranger les choses. Mettons un terme à la relation. - Qu'est-ce qu'il y'a ? pourquoi tu as peur ? - Rien ! - Calme-toi. Tu as peur de moi ? Pourquoi tu es effrayé alors ? - Pourquoi tu trembles ? - Pour rien, j'ai une livraison à faire.

Attends, ne t'en va pas. Tu sais ce que je veux ? Que tu restes ici avec moi et que nous passions un bon moment. Tu vois, il n'y a personne ici à part nous. Et sois-en sûr que… Junior mon fils, fais attention aux femmes de Dakar, elles sont très malignes. Je vais faire ma livraison, c'est mieux. N'insiste pas, Ta Khoudia. Je ne devais pas chiper le petit ami de Oulimata. Ca ne devait pas se passer ainsi.

Ouly est une de tes proches ? Elle est juste ta patronne ! Tu peux trouver un autre travail. Je vais te chercher du boulot. Elle n'est pas la seule à pouvoir t'employer. Elle n'est pas la seule qui puisse t'embaucher. Même si j'ai un autre travail; j'ai déjà perdu ma dignité. Je t'avais averti. - Tu as chipé le mari de quelqu'un ? Ce n'est pas le cas ! Ecoute, calme-toi. - Je veux que nous mettions fin à notre relation. - Donc, tu n'as jamais été amoureuse de moi. Tu ne dois pas te laisser manipuler par Ouly.

Je dois arrêter les relations amoureuses, car elles se soldent toujours par un échec. - Tu es toujours amoureuse de Weuz ? - Pourquoi être amoureuse de lui alors qu'il vient de m'humilier ? - Je le déteste encore plus. - Ne parlons plus de lui alors. Tu es socialement inférieure à Ouly ? C'est dur de se laisser traiter de tous les noms sans répliquer, car on sait qu'on a tort. Ce qui me fait mal c'est le fait de n'avoir pu rien lui dire, car je suis coupable.

Ca ne me dérange pas de rompre avec toi. Si tu le désires, nous pouvons rompre. Je peux m'occuper de Ouly. Il parait qu'elle vient chez moi, je sais qu'elle vient pour ça. Je vais lui dire que je ne suis plus amoureux d'elle et que c'est toi que j'aime. Si Weuz s'en prend encore à toi, fais-en moi part, je vais lui régler son compte.

- Parce que je n'ai plus rien à craindre. - Je n'ai plus rien à dire à Weuz. C'est bon alors. Tu veux toujours rompre ? Je t'écoute. Ami ça fait un bail, Comment vas-tu ? - Je vais bien, je suis juste occupée. Les filles de Dakar sont toujours occupées.

Comme tu le sais, je suis très prise. Où est ton amie ? Celle avec qui tu m'as mis en contact ? Tout est redevenu normal pour elle ? Ca fait longtemps que je ne l'ai pas vue. Je ne suis pas là pour ça. Je suis venue pour des raisons personnelles. Je suis vraiment perdue. Je n'arrive pas à avoir une relation amoureuse qui dure. Je n'arrive même pas à avoir une relation sérieuse.

Quand je me mets en couple, parfois nous rompons, juste après une semaine. Parfois nous avons un projet de mariage, je le présente à ma famille, mais tout foire. Je suis vraiment perdue c'est pourquoi je suis venue te voir.

C'est fréquent de nos jours. Tu es possédée. C'est à cause d'un djinn. - Il fait tout pour compromettre ton bonheur. - Il me mène la vie dure.

- Tu as raison. - Mes relations ne durent pas. C'est leur méthode ! Depuis que je suis partie d'ici, je me sens vraiment étourdie. - C'est comme si on avait abusé de moi. - Madame Aida. Personne n'a couché avec toi. Je t'avais dit que tu es possédée. Le djinn est méchant en plus d'être amoureux de toi. Tu es possédé par un djinn pervers. Il abuse de ton corps.

Ce djinn est très puissant. Mes prières le sont également. C'est normal que tu te sentes étourdie quand il abuse de toi. Je suis vraiment perdue. Vous pensez que tout va bien se passer ? Aida, ne t'inquiète pas, tout va bien se passer. Si tu me laisses terminer le travail, le djinn va te quitter et tu seras en paix.

Je serai vraiment soulagée si tu réussis à le faire. Je souffre. Cette sensation m'inquiète. C'est bizarre ! En plus, mes amies, surtout celle avec qui je traine, est très sollicitée par les hommes. J'ai remarqué que partout où nous allons c'est elle que les hommes abordent. Elle a plein de petits amis alors que moi je n'en ai même pas un. Partout, c'est elle qui attire les regards. Vous pensez qu'elle a un talisman ?

- C'est possible. - Soit qu'elle en a ou qu'elle m'a envoutée. - Peut-être que c'est vrai, elle en est capable. - Les femmes sont capables de tout. - De plus, elle est aimes les hommes. - Il faut que tu te prennes en main.

Il faut savoir se protéger. Ce sont les effets du médicament que je t'ai donné. Je vais chasser ce djinn de ton corps. - Tu n'auras plus de maux de tête ni de courbatures. - J'ai confiance en toi. Je sais que tu tiens toujours ta parole, car si j'ai pu me marier, c'est grâce à toi.

- Mais il y'a autre chose qui m'intrigue. - Qu'est-ce que c'est ? Depuis que j'ai utilisé la potion que tu m'as donnée, je n'arrête pas de penser à toi. C'est plutôt le djinn qui te possède qui pense à mon djinn ! Cela signifie que ton corps ne rejette pas la potion que je t'ai donnée.

Cette potion est miraculeuse. Tu n'as pas l'impression qu'il te caresse quand tu dors la nuit ? Qu'il t'embrasse ? Qu'il flirte avec toi ? Vous avez raison, parfois je le sens la nuit. - C'est lui ! - Surtout au niveau de mon dos. Cela m'intriguait. Je suis possédée ? A mon réveil le matin, j'ai mal au dos. - C'est lui. Il peut même t'engrosser. - Quoi ? M'engrosser ? C'est possible ? Ton djinn s'accouple avec le mien.

Ils font corps ! Nos djinns doivent s'accoupler pour que tu guérisses ! Vous vous entendez parler ? Que nous couchions ensemble ? - Moi, je suis mariée. - Moi aussi, mais je veux juste t'aider. Ce ne sera pas nous, mais plutôt nos djinns. Mes djinns vont chasser le djinn pervers qui est en toi ! Tu penses que nous couchons ensemble, mais ce n'est pas le cas. - Est-ce la seule solution ? - Oui, il le faut ! Aide-moi. Tu es mon ami.

Je vais t'aider. Je vais te rendre plus attrayante qu'elle. - Aide-moi, je t'en prie. - Laisse-moi faire. - Crois-moi. - Il faut que tu changes la donne. Rassure-toi, tu ne vas plus perdre tes prétendants. Tu sais quoi ? Il se fait tard, mon mari sera bientôt de retour . Tu vois cette bouteille ? Aujourd'hui, tu vas te laver avec.

Rends-toi dans la chambre où tu étais la dernière fois et lave-toi avec. Fais-le et reviens. Ensuite, tu vas boire la potion. Après l'avoir bu, tu seras un peu sonnée. Tu vas t'évanouir, mais ce n'est pas toi, mais le djinn. Vas-y et reviens ! Laisse ici ton sac.

Au coin. Tu as compris, Aida ? A coin. Maïta, tu m'as beaucoup manqué. - Moi aussi. - Je me sens vraiment seule. Tu ne peux pas proposer à Cheikh de venir vivre ici ? J'ai besoin de compagnie. - Ma tante, tu as accepté de me donner en mariage. - Oui, mais tu es des miennes.

Moi aussi je pense tout le temps à toi. C'est bizarre, mais je t'ai convoquée pour autre chose. Mayeta, depuis le mariage vous ne m'avez pas appelée. C'est normal que je m'inquiète. Quel est le problème ?

Tu m'avais dit qu'il fallait être discret, non ? C'est vrai, mais pas avec moi ta tante. Mayeta, dis-moi ce qui se passe. Tu étais de mœurs légers ? Je t'avais prévenue. Je t'avais dit que pour que ça marche, il faut que tu couches avec un garçon. Tu ne m'as pas cru et tu es partie.

J'étais couché, mais je te voyais venir. Je savais que tu reviendrais. - C'est la vérité ! - Ce n'est pas une raison pour vous moquer de moi. Si je suis là, c'est pour trouver une solution. J'ai essayé avec un garçon, mais ça n'a pas marché. - Tu l'as fait sans me le dire ? Tu m'as demandé de le faire. - On n'était pas d'accord, tu as refusé ma proposition. - Mayeta, tu n'es pas vierge alors.

C'est pourquoi tu refuses de me donner une réponse claire. Tu m'as vraiment déçu. Sache que le monde a les yeux rivés sur toi. Tout le monde est à l'écoute ! Si tu me dis que tu ne l'es pas, je risque de mourir ! On patiente ! Ma tante, Cheikh est impuissant, c'est comme s'il avait été marabouté. Pourtant, je t'avais prévenue. - Sa femme est adepte du fétichisme. - Tu n'as pas d'astuces à me donner ? Une femme aussi belle que toi.

Si après avoir allumé de l'encens et porté un pagne, le gosse n'a pas réagi, tu n'es pas coquine. Il ne s'agit pas de coquineries. Je ne suis pas là pour ça. Je veux que tu me dises comment régler mon problème au lieu de me juger. - Tu peux faire revenir ce jeune chez toi ? - Qui ? - Le garçon.

Ce jeune a fui quand j'ai essayé de le charmer l'autre jour. Tu as raison, mais il y'a toujours une solution. Mais je n'ai pas le droit de faire quoi que ce soit sans consulter l'Imam Ne devons-nous pas aller voir un féticheur ? C'est vrai, mais parlons-en d'abord à un savant.

Seul l'Imam peut me donner une solution. Je saurai ainsi le point de vue de la religion. Je ne peux pas agir en dehors de la religion. C'est bien alors. Je suis vraiment choquée, ces pratiques existent toujours ? Je ferai tout pour que tu arrives à avoir ce jeune garçon dans tes filets.

Tu vois ça ? C'est un bon médicament. C'est une potion magique, tu dois juste la soupoudrer sur la nourriture. Reste sur place, même si tu ne réagis, il va te sauter dessus. Il faut que tu sois prête. Sinon, il risque te blesser. Je ne veux pas de problèmes. J'ai peur qu'il le mange et qu'il ait des effets secondaires.

Je sais de quoi je parle. Si tu veux, je peux le boire et tu verras. - Nous allons essayer et tu vas voir. - Tu veux coucher avec moi ? C'est juste une façon de parler. Je voulais juste essayer pour que tu vois de toi-même. S'il le boit, tu l'auras sans efforts. Il sera très performant.

Tu penses que tu pourras le supporter ? Dis-le-moi, je peux diminuer la dose.

2022-03-14 20:02

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