NJABAR - Saison 1 - Episode 15 **VOSTFR**
Je te connais, tu es capable de tout, réfléchis bien à comment aborder Yacine. Elle ne vit plus seule maintenant, elle a une co-épouse. Je veux que tu me fiches la paix ! Tu n'as pas à me dire ce que je dois faire ! Est-ce clair ? Vous vous disputez tout le temps. Elle est exaspérante ! - Tu es têtue ! Arrêtez de vous disputer.
Comment allez-vous ? - Elle exagère ! - Je vais arrêter de te fréquenter, je n'aime pas ton attitude. - Je m'en fiche ! Calmez-vous ! Changeons de sujet, arrêtez de vous chamailler. Comment vas-tu ? Je suis choquée, là ! Où sont les autres ? - Ngoné, est-ce bien toi ? Tu avais disparu de la nature ! Je n'ai jamais disparu. J'avais juste de la grippe et je suis restée à la maison. - Elles ne sont pas encore là ? - Non. Elles ont repris leurs mauvaises habitudes alors ? Je ne me suis absentée que trois jours.
Ce n'est pas le cas, on était au mariage. - Vous exagérez ! - On était au mariage. Je leur ai dit qu'elles pouvaient venir à partir de 13h. On dirait que tu es toujours fatiguée, à cause de ce mariage. Je voulais me venger. Yacine était venue au salon pour me dénigrer.
Je me suis bien habillée juste pour la narguer. Vous auriez dû me prévenir, j'aurais cuisiné pour vous. Nous sommes des amies, nous devons être des complices. - Il n'y a rien de mal à avoir une co-épouse ? - Tu penses que je souffre ? Qu'est-ce que vous voulez ? Le coup est déjà parti.
Yacine, je te connais. Certes, j'ai aimé ton sang-froid le jour du mariage, mais quand je suis rentrée chez moi et que j'ai repensé aux événements, ça m'a paru bizarre. - On est sur la même longueur d'onde. - Tu n'aurais pas dû le rater. - Ça s'est bien passé ? - Tu seras présente à mon mariage, j'espère. Je croyais que tu allais te marier le même jour. Je t'avoue que ça m'aurait fait plaisir.
Pourquoi il n'a pas fait ça ? Je ne comprendrai jamais Alou. Tu étais malade ? - Tu ne me crois pas ? - Bien sûr que oui. - Tu sais que je ne mens jamais. Je ne t'aurais jamais dit que j'étais malade si je ne l'étais pas.
J'étais inquiète, car Bana m'a dit qu'elle t'a trouvée la dernière fois en train de pleurer. Je ne le dis pas pour te mettre mal à l'aise, c'est juste que vous êtes des collègues, elle s'inquiétait. Quand elle me l'a dit, j'étais inquiète. - Elles sont de vraies menteuses ! Je savais qu'elle allait te le dire. J'ai des problèmes de vision, elle m'a trouvée en train de les nettoyer.
Bana est une vraie menteuse. Tu me connais. - Je n'aime pas comment tu me regardes. - Je ne te crois pas. Tu n'as pas de problèmes de vision, je te connais. Elle n'a pas encore consommé son mariage ? Est-elle vierge ? Ce ne sont pas tes affaires. En plus, on ne doit pas aborder ce sujet ici. Si elle nous entend, elle pensera que nous la médisons.
Tu es une trouillarde, je me fiche d'elle ! Ce n'est pas de notre faute si elle n'est pas vierge. Elle a raison. Sa vie ne me regarde pas. De toute façon, je leur ai accordé un mois pour la lune de miel. Je ne peux pas le croire ! J'avais pitié de toi à l'annonce de ce mariage. Et là, tu me sers cette histoire ! Tu commences à m'inquiéter ! C'est louche ! - Je te parlerai en privé, je te connais. - Tu es incorrigible !
- C'est louche, je découvrirai la vérité. - Sérieusement ? - Oui. Codou, fiche-moi la paix, s'il te plait. - Pour être honnête avec toi, ton mari te manque. - Quoi ? - Je sais tout ce qui s'est passé. De quoi parles-tu ? - Ecoute, je t'avais prévenue. Je t'avais conseillé de ne pas divorcer. Il ne t'a pas accordé le divorce, tu es partie de ton propre gré.
- Tu es partie juste à cause de ta coépouse. - Je n'accepte pas de partager mon mari. Elle est dangereuse ! Je n'accepterai jamais de revivre avec lui. Tu avais opté pour la monogamie ? Quel est ton problème ? Arrête, tu es en train de me chatouiller. Tu es drôle, tu as bonne mine, en plus.
Que Dieu te protège ! Youssou Ndour chante bien. - Que Dieux le protège. - Amen ! " L'argent fait du bien, j'en suis conscient. Plus j'en ai, plus j'en veux !" Je veux avoir beaucoup d'argent. - Pareil avec moi ! - Je le sais ! Il faut qu'on discute. Tu as acheté un matelas confortable, la lumière est vive. Il n'y a plus d'insectes ou de rongeurs ! L'endroit est super. - Tu ne penses pas qu'on devrait déménager ici ?
Il faut toujours que tu gâches l'ambiance. Si on s'installe ici, notre business va en pâtir. Nous viendrons ici chaque fois que nous voudrons nous reposer. Il faut aussi qu'on aille à la plage. Tu vas me tenir dans tes bras.
Tu as été à ses côtés quand il était pauvre, maintenant qu'il est riche tu jettes l'éponge juste parce qu'il a épousé une autre. Après tout ce que tu as enduré dans ton foyer, tu abandonnes tout à cause d'une femme. Je ne partagerai pas mon mari avec une autre. Je vais te dire deux choses ! Tu l'aimes depuis toute petite. Soit vous allez vous revoir et il va t'emmener à l'hôtel. Soit tu vas lui courir après, il va t'épouser.
Tu seras la seconde épouse ! Ce qui sera humiliant pour toi. Je ne veux plus que tu me parles de lui ! Il peut nous porter la poisse ! Il ne faut pas prononcer son nom ici. Je campe sur ma position et ça tu le sais. Tu te fiches de moi, en réalité ! - Je suis perturbée. - Tu sais quoi. - Je t'écoute. Continue le massage - D'accord, mais Atou est venu me voir. - Qu'a-t-il dit ? - Il m'a remis une convocation, il a dit que vous vous êtes battus.
- Je lui ai cassé la gueule. - Il m'a dit le contraire. - Tu l'as cru ? - Jamais ! - C'est bien. - Il est incapable de te casser la gueule ! S'il ne fait pas attention à lui, je risque de le tuer. - Ne dis pas ça. - Je suis très sérieux. Tu ne dois pas te disputer avec lui, ça risque de faire capoter nos affaires. - Atou ne peut pas nous nuire.
Il est indiscret ! Tu as raison. Je lui pardonne pour te faire plaisir, mais je ne me laisserai pas faire. - Laisse tomber. Autre chose...
La fille dont je t'avais parlé a un problème avec son mari et elle doit venir te voir. Celle avec qui tu parlais au téléphone ? - Celle qui t'avait donné l'argent. Oui, je m'en souviens. - Elle a un problème avec son mari.
Je lui ai alors dit de venir te voir. Elle a dit qu'elle allait venir, j'attends ton feu vert. - Elle peut venir. Je vais facilement régler le problème ! Autre chose... Demande-le-moi. - Dis-le-moi, Bébé. Il faut me le demander en anglais. - Tu parles bien l'anglais. - Je vais m'exprimer comme les jeunes.
Qu'est-ce que c'est, ma chérie ? Longue vie à toi, tu me rends heureuse. Nos ennemis sont tous jaloux de nous. Ils vont tous être jaloux. Comme le disait Serigne Fallou, les ennemis vont toujours déchanter. Ouly, tu es énervante ! Tu aurais dû nous laisser rester chez nous, on est épuisées par le mariage. Tu aimes les ragots, je te connais.
Raky et moi sommes plus fatiguées, on était tout le temps avec Mayeta. Vous exagérez. Ngoné m'a demandé pourquoi vous n'êtes pas venues. - C'est un bourreau de travail. Je lui ai dit que je vous ai donné la permission de venir plus tard que d'habitude. Changeons de sujet ! Parlons du mariage. J'ai même la voix enrouée.
Tu étais bien habillée. C'est vrai. Elle était très bien habillée ! En vert, s'il vous plait ! En plus, tu étais très bien coiffée ! Je savais qu'elle allait se venger ! Elle est toujours bien habillée, surtout quand elle se rend chez King Daddy. Il faut qu'on parle d'Oulimata. - La copine d'Alou ?
Oui. - Elle veut qu'Alou l'épouse. - J'ai pitié d'elle. J'avais mal quand elle s'est confiée à moi. Elle m'autorise à vendre devant le salon, donc je dois de l'aider. - Elle est gentille. Je lui ai dit que je connaissais quelqu'un qui peut l'aider. - Je ne suis pas bête. - Pour ça, tu as pensé qui ? - A toi, bien sûr !
- Tu me fais peur. - Désolée ! As-tu perdu la tête ? Ouly est la petite amie de mon meilleur ami. Elle m'aime bien. En plus, elle t'autorise à vendre devant son salon.
Comment veux-tu que je l'escroque ? Alou est mon ami depuis tout petit, je ne peux pas lui faire ça. Je ne peux pas aller chez King habillée n'importe comment ! - Tu as raison. - King le sait très bien. Yacine a été prise au dépourvu ! Je devais lui donner une leçon après le bordel qu'elle a mis ici.
Elle a osé dénigrer Alou pour me blesser. Alou me dit tout, il a des containers au port. Je suis allée au mariage juste pour l'humilier.
Avez-vous remarqué l'atmosphère du mariage ? On dirait que c'était Yacine la mariée. Elle nous a fait croire qu'elle avait changé. Mais elle a attendu la cérémonie pour faire le contraire. - Khoudia a été dure avec toi, je vous ai vues. - La patronne lui a réglé son compte.
J'ai violemment bousculé Khoudia qu'elle est tombée malade ! Tu t'es bien vengée ! Je parie que c'est Khoudia qui a conseillé à Yacine de faire ces fourberies. Yacine est une peureuse. - Khoudia l'influence toujours. - Tu as raison. Elle n'oubliera jamais ce que je lui ai dit pendant le repas.
Mayeta est bête. Elle pensait que Yacine voulait la paix, alors que c'était faux. Vous devez conseiller Mayeta. - Ne t'inquiète pas pour ça. - Elles ne vont pas lâcher l'affaire.
Les filles si vous avez fini, je ne parle pas de toi Oulimata, ne devons-nous pas nous trouver des maris. - Tu as raison. - Il est grand temps de se marier ! Nous allons attendre d'abord Ouly, je sais qu'elle se mariera bientôt. J'espère que vous vous préparez pour mon mariage ? - Nous sommes déjà prêtes ! - J'organiserai un mariage inédit ! - Vous êtes prêtes ? - Oui ! - Je ne veux pas voir de robes. - Que veux-tu qu'on porte ? - Des tailles basses. - Tu resteras toujours bête !
On s'en fout de Alou ! Birima et lui ne t'ont jamais aidé ! Tu n'as rien reçu de lui depuis son retour. - Ce n'est pas grave. Ne te fiche pas de moi ! - Baisse le doigt quand tu me parles ! Elle viendra et tu vas le faire ! C'est un business. Je n'en disconviens pas, mais le seul problème c'est que je ne veux pas travailler pour des gens qui nous connaissent.
Tu as oublié ce qui s'est passé avec Weuz ? Il a failli gâcher nos plans. Si on y mêle Ouly, on est foutus ! On n'en a rien à faire ! C'est dans le cadre professionnel ! Il faut mettre en avant tes intérêts. Tu vas le faire à sa façon ! On dit à ma façon ! - D'accord. - C'est noté. - Tu n'as pas à avoir peur. N'arrête pas le massage.
Je risque de ne plus t'aimer à la folie. - On n'en arrivera pas là. - Fais ce que je te dis. - D'accord. Je réfléchissais à la stratégie à adopter, j'y arriverai. Soutire-lui tout son argent ! Pas d'états d'âme ! Je ferai pire à Alou ! Comment allez-vous, Serigne Bouly ? - Tu vas bien ? - Assieds-toi.
Tu habites loin ! Je t'ai cherché... - L'endroit n'est pas accessible ! - Ferme ta gueule ! - Comment vas-tu ? La famille va bien ? - Je vais bien. Ils vont bien. - Ça fait un bail. - L'endroit n'est pas accessible ! J'ai cherché partout. Tu devais me prévenir quand tu déménageais. Ce sont mes génies qui me guident.
- Ils ont choisi ce lieu. - Je comprends. Comment vas-tu ? - Je vais bien. Je suis venue te parler de Yacine, son mari a pris une seconde épouse. Elle ne t'a pas obéi. Si sa coépouse a un enfant avant elle, elle aura des problèmes. Yacine n'aura pas droit à l'héritage si son mari décède. Heureusement que tu es venue plus tôt.
- Sinon j'allais tuer Yacine ! - Que Dieu m'en préserve. - Je te le jure ! - C'est mon unique fille. - Elle me fait passer pour un incompétent ! Comme je vous l'ai dit par téléphone, elle est comme ma fille. Je vais la laisser t'expliquer. Elle a un problème avec son mari. Je veux que tu nous aides. Elle est inquiète.
Rends grâce à Dieu ! - C'est grâce à moi que tu t'es mariée. - C'est vrai. C'est pourquoi, j'ai demandé à tata Maï de m'emmener ici. Avoir une coépouse n'est pas chose aisée. Je ne fais confiance qu'à toi.
Sa coépouse est dangereuse ! Elles ne cesse de la marabouter ! D'accord. Es-tu prête à faire tout ce que je te demande ? Je suis prête à tout pour arriver à mes fins. Je veux préserver mon ménage. Nous sommes prêtes à tout pour ça.
Elle aime son mari alors que ce dernier se fiche d'elle ! Cette femme est une amie de longue date, quand elle m'a parlé de tes problèmes, j'ai voulu t'aider. Comme le disent les Bambaras... - Je veux que tu m'expliques tout. - Yacine est venue ici plusieurs fois, elle pleurait, car elle voulait avoir un enfant. Mais elle ne suit jamais mes consignes !
Si elle avait suivi mes conseils, elle aurait eu beaucoup d'enfants ! Elle ne fait rien de ce que je lui demande. Elle aurait dû appliquer mes conseils à la lettre. Dorénavant, je vais prendre tout en main.
D'accord, tu vas alors suivre mes instructions. - Je le ferai. - Si tu fais ce que je te dis, tu seras satisfaite ! Je veux que sa coépouse n'ait pas d'enfants. Sinon, Yacine n'aura pas droit à l'héritage si leur mari meurt.
On dirait que tu doutes de mes dons ! Elle n'aura pas d'enfants ! - Je l'ai rendu impuissant. - Il peut retrouver sa virilité à tout moment. Je mens alors ? Je m'excuse. - Je ne mens jamais. Je peux même décider de la fin du monde, si je le veux.
Depuis qu'il m'a épousée, il ne fait plus rien pour moi. Ce n'est pas normal, je suis sa femme. Mes génies m'ont tout dit. On vous a maraboutés, ton mari et toi. - Je le savais. - C'est pourquoi il ne s'occupe pas de toi. Il ne couche plus avec toi.
Vous vous disputez pour tout et n'importe quoi. - Je le savais. Je suis comme sa mère, je vais l'aider et la soutenir. Sa coépouse va regretter de lui avoir fait du mal.
Tu parles trop. Ses génies sont pudiques. Ils sont méchants ! - Laisse-nous seuls. - Je l'ai emmenée ici, non ? C'est ma fille. Laisse-nous seuls, je t'expliquerai après. Je t'ai emmenée ici pour... - Sors d'ici, tu parles trop ! Je m'excuse.
Mes génies n'aiment pas cette femme, elle parle trop. Mes génies sont les meilleurs ! Je ne mens jamais ! - Je te crois. Je l'ai rendu impuissant et si je veux qu'il ait un enfant, il l'aura. Je ferai en sorte que Yacine ait un enfant, puisque c'est ce que tu veux.
Je veux qu'elle devienne mère. Parlons sérieusement. Avoir un enfant n'est pas donné à tout le monde. Avant de l'avoir,
il faut beaucoup de sacrifices. - Tu vas débourser beaucoup d'argent. - Compte sur moi. Elle aura beaucoup d'enfants. Merci.
J'ai tout vu. Tu es possédée par un méchant génie ! - Quoi ? Ton mari va toujours te tourner le dos ! C'est pourquoi vous vous disputez tout le temps. Je suis inquiète. Avant-hier, j'ai cuisiné du riz au poisson bien garni, il en a pris une bouchée et me l'a recrachée à la figure.
C'est à cause du génie. Il ne boit plus les jus que je luis sers prétextant qu'il y'a trop de sucre. - Il ne me touche plus. - C'est à cause du génie. Tu ne seras plus malheureuse.
Je vais t'aider. Si tu utilises correctement le bain, je te jure que ton mari reviendra à de meilleurs sentiments. Si vous faites ça, je vous en serai reconnaissante. Tu vas partir. Tu reviendras au coucher du soleil.
Que personne ne sache que tu viens ici. Même celle qui m'a conduite ici ? - Oui, car ton génie aime la discrétion. Ton accoutrement le pousse à te posséder. Tu vas porter des habits décents quand tu reviendras. Tu peux partir, reviens au coucher du soleil. Ne reviens pas avec elle.
Mets-le là-bas. - C'est bon. - Merci. Dieu est grand,` il contrôle tout. Ça me fera plaisir que tu reviennes. - D'accord.
Porte des habits légers. Elle est très belle. Je vais la courtiser. Elle est très belle. Je vais la courtiser, je me fiche de Maï.
Elle est encore jeune, son mari ignore la chance qu'il a. Je vais la marabouter, la séparer de son mari et l'épouser après. Maï va me tuer, mais elle en vaut la peine.
2022-02-22 04:14